Le 21 août 2013, 28 membres du CDRC ont été arrêtés, Modeste BOUKADIA qui n'était plus à son domicile, fut condamné par contumace à 30 ans de travaux forcés (peine non connue dans le droit du Congo). Le 15 Janvier 2016, Modeste Boukadia a été arrêté a son retour a Brazzaville par plus de 1900 soldats venus avec des véhicules blindés et des hélicoptères de combat pour intimider les 3000 sympathisants non-armes venus pacifiquement accueillir Modeste Boukadia.
On lui reproche l’appel à un gouvernement d’union nationale lors de l’organisation desmeetings du11 mai 2013 à Brazzaville et du29 juin 2013 à Pointe-Noire. Ces meetings avaient eu toutes les autorisations avec les taxes payées et ils s’étaient déroulés dans le plus grand calme.

Monsieur Modeste BOUKADIA a toujours appelé à la création d’un gouvernement d’union nationale (ce qui évite les irrégularités des élections présidentielles, leénième changement de constitution et le risque de nouveaux bains de sang) etde faire auprès de l’ONU une reconnaissance de l’État du Sud et celui du Nord, dont l’objectif n’est pas une division mais de construire l’union du nord et du sud dans le respect de la constitution de 1958 fondatrice du Congo-Brazzaville (ce qui rend aussi la présidence de Sassou NGUESSO illégale).
Monsieur Modeste BOUKADIA avec le CDRC ne sont pas hors la loi, ils utilisent la non violence et toutes les règles de droit et toutes les failles pour dénoncer et contrer unedictature en place depuis plus de 32 ans au Congo-Brazzaville.