« Notre Objectif : Reconstruire le Congo et rendre la dignité à ses citoyens en impulsant et favorisant l'esprit de liberté démocratique et républicaine. »
Modeste Boukadia sur Afrikili.tv dans Une heure pour convaincre le 1er mai 2023 :
« La défaillance de l’État congolais est si patente que c’est au pouvoir actuel de saisir la chance d’un compromis politique historique grâce auquel aucun Congolais ne craindra pour son avenir, grâce auquel des vies humaines seront sauvées et grâce auquel le Congo redeviendra un acteur majeur auprès de ses partenaires en Afrique et dans le monde. »
Modeste Boukadia sur Ziana.tv le 18 mars 2023 : DANS L’ESPRIT DE LA RÉSISTANCE ET DE L’UNION NATIONALE Depuis l’Esplanade de la Résistance à Chartres, lieu hautement symbolique, Modeste Boukadia déclare : « Si les différentes forces politiques congolaises ne s’unissent pas, il est très difficile de reconstruire le pays »
Modeste Boukadia sur Ziana.tv dans L’Afrique en débat le 9 mars 2023 : Place à la « désimmigration » pour établir de nouvelles relations entre l’Afrique et la France « Je félicite le Président français, Emmanuel Macron, d’avoir acté la fin de la Françafrique lors de son périple en Afrique centrale. Encore faudrait-il que les actes s’accordent aux paroles. Puisse la France choisir la voie d’un nouveau partenariat, juste, équitable et ambitieux, avec tous les Etats africains, notamment avec le Congo-Brazzaville. Car l’Afrique aura un rôle majeur à jouer dans l’après-conflit russo-ukrainien. Non seulement sur le plan économique et alimentaire, mais aussi sur le plan des droits humains. J’en appelle pour cela à la désimmigration afin que ce nouveau partenariat se nourrisse des expériences, expertises et qualifications que les nôtres ont acquis en Occident. »
Modeste Boukadia sur Ziana.tv dans L’Afrique en débat le 2 mars 2023 : Que sortira-t-il de la besace de Macron à Brazzaville ? « Pendant que Monsieur Emmanuel Macron visite plusieurs pays d’Afrique centrale au nom de la France, un compte à rebours est enclenché : s’il choisissait de faire au Congo-Brazzaville ce qui a été fait au Tchad avec le fils d’Idriss Deby, il signerait la fin de la France au Congo-Brazzaville. J’ai confiance dans le fait qu’il saura comprendre le besoin d’apaisement dont a besoin la jeunesse africaine et qu’il saura faciliter une solution politique historique pour la reconstruction de la nation et de l’État congolais. Nous verrons dans quelques jours ce qu’il aura sorti de sa besace auprès de Monsieur Denis Sassou-Nguesso »
Modeste Boukadia sur Afrikili.tv dans Une heure pour convaincre le 29 janvier 2023 :
« En 2023, construisons le trait d’union Congo-Congo. Le compromis politique historique que je propose a pour but de ne pas engendrer plus de souffrance pour le peuple congolais. Le sens de mon combat est de voir tous les Congolais, en particulier notre jeunesse, faire du Congo une grande nation unie, soudée et respectée. J’appelle pour cela à un large rassemblement autour de la Table ronde d’où émergera ce que j’appelle le compromis politique historique »
« Comment sortir du désastre actuel au Congo-Brazzaville ? Par des décisions politiques courageuses permettant d’impliquer les jeunes générations dans l’union, l’apaisement et l’esprit de reconstruction, à partir de toutes les compétences présentes dans le pays et à l’extérieur. En 2023 nous y arriverons car le temps de la guérison est venu »
A la suite des intempéries de toutes sortes qui endeuillent le peuple congolais, notamment les inondations dues à des pluies abondantes, le Cercle des démocrates et républicains du Congo (CDRC) condamne l’attentisme du pouvoir public qui se montre incapable de soulager la peine de nos populations.
Ces inondations sont la conséquence déséquilibrée et mal conçue de la politique dite de « municipalisation accélérée », en l’absence de tout schéma directeur de construction, sans études préalables sur les zones d’habitabilité.
Le CDRC pointe la responsabilité directe et entière de l’Etat dans cette situation. L’État a en conséquence l’obligation d’assumer la prise en charge complète des dédommagements pour les vies humaines perdues et les biens meubles et immeubles détruits.
Le CDRC présente ses condoléances à toutes les familles éprouvées par ces drames et leur assure, par son président Modeste Boukadia qui, dès qu’il sera au Congo, leur rendra visite pour leur apporter son plein soutien.
Pour le CDRC, la reconstruction du Congo passe par les réparations des dommages subies jusqu’ici par les congolais dans l’indifférence totale des pouvoirs publics. En outre, mettre l’accent sur l’école, tous les enfants devant retrouver le chemin de l’école, l’assainissement de l’économie. Pour la paix et la stabilité durable du Congo et de la sous-région, le CDRC soutient la proposition de la loi d’amnistie générale proposée par le président du CDRC, Modeste Boukadia, le 30 décembre 2022 pour restaurer le trait d’union Congo-Congo et redonner ainsi confiance dans la réalisation de l’unité nationale.
Mes chers compatriotes, je partage avec vous le vœu que 2023 sera l’année du changement. Que le trait Congo-Congo se concrétise et efface la discorde Nord-Sud, afin que nous demeurions un seul peuple uni à jamais ! Que ce pont se construise afin que tous les enfants du pays puissent rentrer à la maison !
Le compromis historique que j’appelle de mes vœux conduira à une transition apaisée et apportera des solutions à tous les Congolais qui souffrent. J’ai confiance en la renaissance d’un Congo uni et indivisible, j’ai confiance en l’amour que les Congolais peuvent redonner à leur pays. Tous ensemble, tournons la page par l’amnistie générale.
Comme je l’ai dit à maintes reprises, je n’ai qu’une seule parole et c’est une parole d’honneur. Tendre la main n’est pas une faiblesse. Tout comme la prendre est la marque du courage.
Je tends la main à M. Sassou Nguesso pour qu’il puisse s’en aller en paix selon sa volonté et pour que le Congo vive dans l’unité !
Bonne et excellente année 2023 ! Vive le trait Congo-Congo ! Vive le peuple congolais qui est mon Dieu !
Dans Le vrai journal de Bob Ebaka du 28 novembre 2022
En ce 28 novembre 2022, jour d’anniversaire de la république congolaise, Modeste Boukadia appelle le peuple congolais à la renaissance : « La main que je tends n’est pas seulement pour Denis Sassou Nguesso et pour toutes les forces politiques congolaises mais aussi pour les Congolais qui sont à l’extérieur du Congo. Car nous avons besoin d’Africains vivants pour que l’Afrique devienne une puissance continentale jouant pleinement son rôle au service de l’humanité dans le nouvel ordre mondial qui se dessine. Le berceau de cette Afrique fière d’elle-même et de ses ancêtres est en Afrique centrale, son cœur est le Congo-Brazzaville »
Dans Le vrai journal de Bob Ebaka du 9 novembre 2022 Modeste Boukadia continue à tendre à Denis Sassou-Nguesso une main ferme et sans arrière-pensée : « Le dialogue doit prendre une tournure officielle sous l’égide de la communauté internationale, en direction de la Conférence internationale pour la renaissance du Congo qui permettra au Congo de redevenir le moteur de l’Afrique centrale »
Dans Le vrai journal de Bob Ebaka du 14 octobre 2022, Modeste Boukadia adresse un message fort au peuple congolais : « Allons à la Table ronde pour sceller la réconciliation nationale sans nous focaliser sur les tragédies, les drames, les blessures, les frustrations, les amertumes et les déceptions. Ensemble, nous mettrons en place un État fort et impartial capable de répondre de manière équitable aux besoins de sécurité et d’épanouissement de tous les enfants du Congo »Emission Ebaka show du 14 octobre 2022
Modeste Boukadia sur Afrikili.tv le 9 octobre 2022 : « Une autre politique est possible, celle de l’union nationale. Nous pourrons ainsi reconstruire l’État congolais pour répondre aux attentes de tous les Congolais. Malgré les souffrances et les déceptions, il est grand temps d’aller à la Table ronde »
Tata Mabiala, Mabios Le Vrai, c’est Modeste Boukadia, le président du parti, qui vous parle au Nom du parti, votre Parti CDRC à qui vous vous êtes voué corps et âme jusqu’à être privé de liberté citoyenne parce que vous voulez un Congo à jamais ancré dans l’unité nationale.
Au Nom de tous les membres du Parti CDRC, je vous salue ! Vous, le Cher Ami, mais aussi le Cher Parent et Compagnon de lutte pour l’unité nationale au Congo !
Ici est votre dernier virage du voyage qui vous conduit vers tous ceux qui vous sont indispensables, votre Maman et votre Papa sans oublier ceux qui les ont précédés !
Un de vos derniers messages disait : « Lenvoka Tâta M’Fumu je veux rester à vos côtés le plus longtemps possible. Mais je dois être en bonne santé » et votre tout dernier message du 01 septembre 2022 fut une photo accompagnée de « Brochettes de noix de palme ! » Ces brochettes étaient sur les braises… Nous nous étions convenus que le premier repas que je prendrais chez vous en rentrant au Congo serait constitué, comme au temps ancien, de noix de palme braisées…
Vous avez décidé de partir en nous laissant seuls sur la route de l’unité nationale. Nos cœurs privés de votre joie de vivre et de votre détermination sont dans une tristesse mais votre présence en nous va nous fortifiez pour continuer la route pour que l’unité nationale soit une réalité au Congo car c’était le sens de votre combat, de votre engagement.
Vous m’avez souvent dit que l’urgence au Congo, ce sont les jeunes qui sont désœuvrés parce que non formés. Vous vouliez mettre l’accent sur la formation professionnelle des Jeunes qui sont le moteur pour le développement du pays.
Nous vous disant ici que cette urgence sera prise en compte quand le pays connaîtra la tranquillité publique.
Tata Mabios Le Vrai, soyez notre repère dans la réalisation de l’Unité Nationale car vous n’avez jamais vu en moi un ressortissant du Pool mais un Congolais comme je n’avais jamais vu en vous un ressortissant de la Bouenza. Que cet exemple nous serve tous pour nous dépasser afin de servir de fil conducteur de l’union nationale qui est la vraie solution pour garantir le bien-être à tous les habitants du Congo sans préjugé aucun. Nous, au parti CDRC, suivrons toujours votre exemple, celui de la concorde nationale. Nous mettons en avant la politique de la main tendue et du président Nelson Mandela comme vous le martelez à chacun de vos messages sur les réseaux sociaux.
Tata Mabiala Mabios Le vrai, le 03 septembre 2022 à 19h35, Vous êtes parti. Faites un très bon et beau voyage en transmettant nos Saluts à tous ceux qui vous attendent. Nous avons besoin de vous tous. Le Congo a besoin de vous !
Tata Paul Marie Mabiala Mpandzou, au nom du Cercle des démocrates et républicains du Congo, le CDRC, votre parti, ce jeudi 15 septembre 2022, YENDENO TSIA MBOTE !
Modeste Boukadia, président du Cercle des démocrates et républicains du Congo (CDRC) exprime, en son nom personnel ainsi que celui de l’ensemble des Congolais, sa tristesse sincère au Roi Charles III, aux membres de l’auguste famille royale et au peuple britannique, ses condoléances et sa profonde sympathie suite au décès de Sa Majesté Elizabeth II, une Reine dont le sens du devoir pour la cohésion et l’unité de l’empire est un exemple exceptionnel pour toutes les générations. Modeste Boukadia
Homme de convictions, patriote congolais, mort à cause de l’injustice. Témoignage de Mme Nadine Boukadia. « J’ai compris une chose dans cette vie : battez-vous pour vos convictions, mourez, s’il le faut, pour vos convictions car de toutes les façons, vous mourrez un jour. Quand on a aucune conviction et aucun rêve à réaliser, la vie n’a aucun sens. N’oublions jamais Mr Mpandzou Mabiala Paul Marie, mort pour la démocratie et la justice au Congo-Brazzaville. Repos à son âme ! » Charlem Bindika
« La meilleure façon de sauver le Congo et d’éviter son morcellement, c’est d’apporter immédiatement à tous les Congolais, et dans toutes les régions du Congo, les mesures d’urgence nécessaires à la renaissance et la reconstruction du pays »
Depuis Chartres, ville-symbole de la résistance française à travers l’oeuvre héroïque de Jean Moulin, Modeste Boukadia, président du CDRC et figure centrale de la résistance congolaise à l’extérieur, est l’invité exceptionnel de Ziana TV dans Les docs de l’été : La France, L’Afrique, Le Congo.
L’AFRIQUE DANS LA DYNAMIQUE D’UNE NOUVELLE GEOPOLITIQUE Modeste Boukadia sur Media2Africa le 5 juin 2022 dans l’émission Entretien avec Jean-Marie Watonsi : « C’est dans les moments difficiles que l’on doit construire l’avenir : les Africains doivent pour cela sortir du statut d’assistés et de mendiants. Et l’Union africaine doit cesser d’être un syndicat de Présidents mal élus ou issus de coups d’État. Mettons en place une grande politique de désimmigration qui créera les conditions favorables à de nouvelles formes d’échange avec les grandes puissances »
Modeste Boukadia dans l’Intégrale sur arts-media.fr :
« Le futur est en Afrique car l’Afrique propose la paix au monde. L’Afrique est capable de s’unir à partir de l’Afrique centrale en dépassant l’entrave de l’esclavage, de la Conférence de Berlin et de la colonisation.
La stabilité du Congo est l’intérêt commun de l’Afrique et de l’Occident, en particulier de l’Europe et de la France. »
Modeste Boukadia dans Ebaka show le 18 mars 2022 : « Je demande à tous les Congolais de se rappeler que le message de Marien Ngouabi était un message d’union nationale et que c’est la raison pour laquelle il fut assassiné le le 18 mars 1977. Nous devons nous asseoir à la Table ronde pour régler ce contentieux historique. La souillure de l’ethnotribalisme doit être lavée afin de reconstruire la République du Congo avec le concours de tous ses enfants. Car ce qui nous unit doit être plus fort que ce qui nous divise depuis quarante cinq ans »
Modeste Boukadia dans Ebaka show le 17 janvier 2022 : « Le temps du changement est là. Libérons le Congo avec calme, dignité et lucidité. Peuple congolais, nous allons tous ensemble construire le nouveau Congo »
Au Congo-Brazzaville, 600 morts reconnus par le Ministre de la santé comme résultat de l’opération « coup de poing » décidée par le Ministre de l’intérieur et exécutée par la Police !
Je présente mes condoléances les plus émues aux familles des victimes de notre Police instrumentalisée par son Directeur général, pourtant déjà admis à la retraite.
Comment expliquer que le Parlement, le Premier ministre et le Président de la République gardent le silence ?
Qu’ils sachent que la vindicte populaire est proche.
Modeste Boukadia chez Afrikili.tv le 14 novembre 2021 « Une nation pour tous » Pour Modeste Boukadia, homme de vérité, le peuple est la clé du rapport de force politique. Source : https://www.facebook.com/AFRIKILIT/videos/1542001522824474/
Nous avons appris que M. Marcel Makomé s’était rendu à Kinshasa (capitale de la République Démocratique du Congo – DRC) sur invitation de Monsieur Gentiny Ngobila Mbaka, Gouverneur de la Ville de Kinshasa en date du 9 août 2021 pour une séance officielle de travail.
Nous sommes étonnés d’apprendre que le 30 octobre 2021 l’invité du Gouverneur de la ville de Kinshasa, Monsieur Marcel Makomé ait été kidnappé à l’aéroport international Ndjili de Kinshasa.
Nous nous étonnons aussi que les autorités de Kinshasa n’aient pas assuré la sécurité de M. Marcel Makomé, invité du Gouverneur et opposant au régime dictatorial de Brazzaville.
Nous demandons aux autorités de la ville de Kinshasa de tout entreprendre pour retrouver et libérer M. Marcel Makomé de ses ravisseurs afin qu’il soit remis à l’ambassade de France à Kinshasa.
Cette situation risque de créer un précédent diplomatique désagréable entre la République du Congo et la République Démocratique du Congo.
Nous sollicitons les autorités de la République Démocratique du Congo, le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo qui assume la Présidence de l’Union Africaine de tout mettre en œuvre pour que M. Marcel Makomé kidnappé sur son sol soit retrouvé sain et sauf.
Modeste Boukadia dans Ebaka Show le 1er novembre 2021 : « Peuple congolais, tout est scellé. Le rassemblement et l’apaisement sont devant nous.
TOUT EST SCELLÉ En ce jour du 1er novembre où chacun de nous pense à ceux qui nous ont quittés, nous devons permettre au Congo de se réconcilier avec lui-même, aux Congolaises et aux Congolais de se réconcilier avec eux-mêmes et que le peuple congolais se réconcilie avec le Congo afin que le Congo puisse donner à chacun de nous ce dont il a besoin pour s’épanouir et qu’en retour nous amenions le pays selon la volonté de nos Pères-Fondateurs vers la Nation qui sera le garant de chacun de nous.
Le rassemblement attendu est celui du peuple congolais, d’où qu’il soit et non pas des chapelles politiques.
La résolution de la crise multidimensionnelle doit avoir pour volet majeur de redonner au travail sa dimension humaine, sociale, éducative et émancipatrice.
Le compromis politique historique est celui de la réinitialisation des systèmes : politique, social, judiciaire, économique et financier car nous n’échapperons pas aux inventaires. Celui du legs colonial, de l’indépendance, de l’après-indépendance, des révolutions du 15 août et suivantes, des conférences nationales, de l’après conférence nationale souveraine, des dialogues et concertations, etc. Notre tissu social s’est largement dégradé et l’idée de la table ronde est au-delà d’un tribunal politique mais des assassinats, des détournements des deniers publics, du fonctionnement de l’administration, nous ne pouvons faire fi sinon renoncer à aller de l’avant pour notre peuple, le pays, le continent. Des générations qui viennent nous regardent et nous jugerons sur nos échecs et sur nos réussites.
C’est pourquoi, je demande à toutes les confessions religieuses, catholique, protestante, kimbanguiste, matsouaniste, ceux des églises de réveil, d’aider le peuple congolais à pardonner et d’aller de l’avant pour construire le pays pour nos enfants et nos petits-enfants.
Aux philosophes, aux libres-penseurs d’instruire le peuple congolais que la liberté est le moteur du développement et de la libre-entreprise pour aller vers le progrès, pour construire les hôpitaux, les écoles, amener de l’eau et l’électricité, construire les routes et investir pour créer des entreprises qui vont donner de l’emploi aux jeunes qui sont aujourd’hui sans boussole ni éducation car abandonnés à eux-mêmes sans repère tangible.
Aux organisations syndicales des travailleurs, des étudiants, des élèves, aux forces vives du pays, que vous ne serez jamais oubliés et vous serez parties prenantes de la Table Ronde.
Aux diasporas, vous avez acquis de multiples expertises depuis les pays d’accueil de l’exil où vous êtes, vous êtes les moteurs des partenariats futurs à mettre en place dans chacun de nos pays africains avec le reste du monde à savoir l’Occident, l’Asie, le Moyen et Proche-Orient car vous avez intégré leur mode de vie et de pensée ; ce qui fait de vous ceux qui doivent travailler avec nos partenaires car l’Afrique aujourd’hui est le point central de l’économie mondiale où chaque continent souhaite être présent pour la survie de leur peuple en terme économique.
Aussi, par la désimmigration, vous apporterez vos expertises auprès de nos populations locales africaines qui sont restés gardiennes de nos terres pour nous accueillir. Prenons l’exemple du pays phare qu’est Israël : ce sont ceux qui sont partis, les exilés qui ont fait d’Israël, une puissance que tout le monde craint aujourd’hui. Tout comme la Chine a copié l’Occident. Alors que nos expertises acquises par les diasporas deviennent le moteur du développement de l’Afrique et singulièrement du Congo Brazzaville qui doit servir de modèle dans la désimmigration.
Ce vendredi 29 octobre 2021, nous avons appris le décès à Paris, en France, de M. Clément MOUAMBA, Ancien Premier ministre de la République du Congo de 2016 à 2021, à l’âge de 77 ans.
A sa famille biologique, à sa famille politique, à tous ceux avec qui il avait de l’affection en partage, au peuple congolais, j’adresse mes très sincères condoléances, car un homme s’en est allé.
Maintenant que tout est scellé, que la Loi de la Nature a dit son dernier mot, je m’incline devant sa mémoire.
Du point de vue politique, le moment approprié viendra pour faire le bilan de sa gouvernance quant à la gestion des affaires de l’Etat dont il était le représentant sans en être le promoteur et le réalisateur et dont il ne peut en être comptable.
Pour Modeste Boukadia, Président du Cercle des Démocrates et des Républicains du Congo, en fin politicien, Denis Sassou Nguesso est conscient et il le sait que son pouvoir est fini, il reste aux congolais de sonner le glas de ce pouvoir. TLR-TV CHANNEL
J’ai été saisi d’un courrier en provenance d’un militant du PCT dans lequel il fait le point entre lui et le PCT. Après s’être interrogé sur son engagement et l’idéal du président-Fondateur du PCT, il conclut dans cette lettre QU’IL DEMISSIONNE DU PCT en remettant sa carte. C’est dire que les compatriotes du Nord n’acceptent pas la situation catastrophique dans laquelle le PCT a entraîné le pays.
La lettre de M. Jean Félix TSIBA est la preuve que les citoyens du Nord subissent les mêmes souffrances que ceux du Sud. Le combat que nous menons est National et c’est dans l’unité qu’il doit être mené.
Pourquoi l’interdiction des mariages, des veillées funèbres et les autres attroupements, ce n’est pas à cause de la Covid-19 sinon les « Mal-à-l’aise »* ne seraient pas bondés sans que les personnes ne portent de masque. La vérité, c’est pour justifier l’état d’urgence politico-militaire vers l’état de siège. Voilà leur projet.
Les cadres du PCT doivent comprendre que c’est déjà la fin. Elle n’est pas proche mais elle est déjà là. C’est pourquoi, il est temps de négocier avec le Peuple et non de l’entraîner vers l’état de siège ; un état de siège sans subventions aux entreprises et aux commerçants, sans pensions aux retraités, sans soldes aux militaires, sans salaires aux agents de l’Etat, sans bourses aux étudiants sans avenir, etc.
Quant aux jeunes diplômés, vous en avez fait des désœuvrés ou des gardiens de parking voire des drogués pour oublier la misère.
Vous avez fait des jeunes filles dès 10 ans, des prostituées, malgré elles, pour s’acheter des serviettes hygiéniques, parce que les parents ont été réduits à une pauvreté telle qu’ils ne peuvent plus assurer l’éducation de leurs enfants.
A Monsieur Sassou Nguesso, je dis ceci : vous avez imposé la Constitution de 2015 à marche forcée avec toutes les conséquences que l’on sait. Cette fois-ci, vos amis vous incite à la modifier pour soi-disant prolonger l’état d’urgence mais en réalité, c’est surtout pour modifier l’Art. 66 qui stipule « Nul ne peut être candidat aux fonctions de Président de la République s’il n’est de nationalité congolaise d’origine » c’est-à-dire qu’il faut être né de Mère et de Père congolais de la République du Congo.
Toute modification et/ou tout amendement de la constitution de novembre 2015, pour favoriser Christel Denis Sassou Nguesso, votre fils, dans les circonstances actuelles, sera considéré comme une déclaration de guerre à l’endroit du Peuple Congolais qui vous regarde.
Monsieur Sassou Nguesso, je vous dis que le Peuple le sait et c’est pour cela qu’il vous attend pour prendre la rue.
Vous voulez utiliser les pseudos élections législatives pour nommer des députés proches de Christel Denis Sassou Nguesso afin d’avoir la majorité qui permette de modifier ainsi la constitution de novembre 2015.
Le Peuple est au courant et il vous attend au tournant.
Monsieur le Président, si le président français Emmanuel Macron peut organiser un sommet France-Afrique sans vous inviter et pire en déclarant je cite : « Certains Présidents sont devenus trop vieux, et pillent le pays avec leur clan« , cela veut dire qu’il vous considère comme un homme dépassé et du passé et qu’il n’entend pas construire l’avenir avec vous. Non, vous ne le pouvez plus. Mais ça, je sais qu’en homme politique averti, vous l’avez bien très compris. De même, vous savez que ça veut aussi dire que vous n’avez plus le soutien international pour vous couvrir en cas de vindicte populaire, ce qui veut dire que chaque mort sera comptabilisé et vous vous ouvrirez largement votre porte pour la CPI.
Cette porte de la CPI sera aussi ouverte pour vos généraux : Jean-Dominique Okemba qui avait reconnu librement de lui-même avoir massacré les populations du Pool en ces termes, je cite : « lorsqu’on a brûlé le Pool…, le ciel n’est pas tombé !», vos différents chefs d’Etat-major, le général de division Charles Richard Mondjo et le général de division Guy Blanchard Okoï qui ont assisté sans bouger les miliciens du Contre-Amiral Jean-Dominique Okemba brûler le Pool, votre directeur général de la Police, le général Jean-François Ndenguet qui ordonne aux bébés noirs de semer la mort dans les quartiers de Brazzaville, le patron de la garde présidentielle, le général Nianga Mbouala Ngatsé dont les éléments ont été utilisés pour brûler le Pool. Bref tous vos généraux qui ont assisté sans sourciller que les populations sur l’ensemble du territoire soient enlevées, violées et tuées en les poussant d’aller se réfugier dans les forêts du Nord et du Sud où les cours d’eau ont été empoisonnés, sans vivres ni médicaments, se nourrissant de plantes sauvages.
Que dire des malades sacrifiés dans les hôpitaux qui ne le sont que de nom sans médicaments ni personnels.
Monsieur Sassou Nguesso, nous savons que vous avez recruté des vétérinaires en lieu et place des médecins pour consulter et soigner des humains en attendant d’avoir des médecins formés à Cuba.
Monsieur le président, cadres du PCT,
C’est le temps de la négociation avec le peuple pour chercher un compromis politique historique. Rien ne sert d’écouter les sirènes qui disent que tout va bien. Nous allons tenir. Il faut se rendre à l’évidence qu’il n’est plus utile de s’entêter à continuer à gouverner un pays dans le gouffre sans partage. Le Congo doit affronter les enjeux de taille. Ceux de la reconstruction de l’union nationale.
A ceux des radicaux qui veulent la guerre pour assouvir leur soif de sang, je dis clairement que le peuple est fatigué de la tyrannie et de la violence politique au point même de ne plus croire en la sincérité du discours politique. Votre brutalité politique et vos élans belliqueux ne donneront ni à manger au peuple ni à électrifier le pays ni encore à installer l’eau courante pour tout le monde qui manque de tout.
Aussi, je vous appelle tous à vous joindre à moi pour apporter au peuple une solution apaisée garantissant une stabilité pérenne des Institutions de la République pour l’avenir de nos enfants, un avenir radieux, plein de rêves et de rires de joie !
Mesdames, Messieurs,
La situation de notre pays est explosive. Le gouvernement le sait et il est sur le qui-vive et se cache derrière la Covid-19 pour justifier sa dictature en mettant tous les Congolais en prison à ciel ouvert et dans les cellules d’isolement que sont le couvre-feu à répétition et les passe-sanitaires qui n’ont pas lieu d’être.
La solution est dans le dialogue pour la réconciliation des peuples sous l’égide de la communauté internationale. Elle n’est pas dans l’intimidation et la conservation d’un pouvoir que l’on n’arrive pas à gérer en dépit de longues années d’embellie financière.
Mes chers compatriotes,
Nous devons nous unir. Nous devons tous regarder devant car il s’agit de la survie de nous tous. Sinon, tous nous serons perdus, les gouvernants comme le peuple. Je sais que le peuple congolais est un Grand Peuple qui a su surmonter des épreuves terribles. Je connais votre capacité à vous mobiliser comme un Seul Homme pour relever le pays. Vous n’êtes pas abandonnés. Le temps est venu et j’appelle tous les hommes politiques du Nord au Sud à nous retrouver pour un Compromis Politique Historique.
Nous, Femmes et Hommes politiques, devons être des Politiques et non des activistes et, encore moins des juges. Nous devons donc en toute responsabilité trouver la juste voie de sortie pour éviter la crise. Nous ne devons pas laisser derrière nous une situation de désolation.
Aux Amis du Congo, à mes Amis,
L’heure du dialogue pour le compromis politique historique est arrivée. Le peuple plus que jamais a besoin de nous. Allons de l’avant et non en arrière. Laissons l’orgueil et nos élans de conservation d’un pouvoir qu’on ne peut plus gérer sans risque de se compromettre davantage…
Je vous remercie,
Vive la République
Vive le Congo
Modeste Boukadia
Le 15 octobre 2021 – Mis à jour le 16/10/2021 à 07h02 / 14h01
* Mal-à-l’aise : cars ou bus de transport public où les gens sont entassés comme des sardines dans une boîte de conserve qu’on les appelle ainsi parce que les gens sont mal-à-l’aise dans ces transports.
Sur la base d’une « indiscrétion », il parvient début octobre aux oreilles d’Alexandre Honoré Paka, le préfet de police de Pointe-Noire, que Modeste Boukadia, président du Cercle des démocrates et républicains du Congo (CDRC) (voir sa photo ci dessus), s’apprête à tenir une conférence de presse quelque part dans la ville et que pour l’occasion, il a aussi mobilisé les militants de son parti, invités à venir l’écouter.
Intervenant à l’émission DROIT DE SAVOIR, sur le récent coup d’État en Guinée Conakry et sur la santé chancelante de Denis Sassou Nguesso, Modeste Boukadia, Président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo craint un embrasement du Congo-Brazzaville si les congolais ne trouvent pas une solution à la crise politique qui mine le pays, avant que Denis Sassou Nguesso ne se retrouve dans une situation d’empêchement définitif.
Au cours de l’émission Ebaka show du 27 août 2021, Modeste Boukadia a appelé le peuple congolais à l’unité pour aller vers un Gouvernement de transition et une grande politique de retour au Congo natal : la sagesse politique impose un compromis historique pour rétablir la paix et la sécurité dont tous les Congolais ont besoin. Suivre la vidéo ci-dessous :
APPEL A LA CONCORDE NATIONALE ET A LA MOBILISATION DE TOUS LES CONGOLAIS Pour Modeste Boukadia, l’avenir du Congo passera par la désimmigration, par la mise en place d’une politique de retour des immigrés sur le continent africain pour utiliser les expertises acquises dans les pays d’exil.
61 ans après l’indépendance, où va le Congo ? Invité de Ziana TV : Modeste BOUKADIA, président du CDRC
Ebaka show du 6 août 2021, Modeste BOUKADIA invité de l’émission pose la question, face à la crise économique sans précédent qui sévit au Congo, de savoir pour une fois, s’il n’est pas possible d’annuler le défilé du 15 août 2021 pour orienter les fonds devant servir à l’organisation de cet événement au paiement de quelques mois de pension des retraités et des bourses des étudiants ?
INVITÉ DU JOURNAL DE LA COMMUNAUTÉ DU 02 AOUT 2021, Modeste BOUKADIA, président du CDRC, répond aux questions de la rédaction de la Radio de la Communauté de Chicago. Suivre l’intégralité de l’émission sur YouTube ci-dessous :
DROIT DE SAVOIR / INTÉGRALE TLR-TV, l’information au cœur de la renaissance avec Christian PERRIN
Reçu sur le plateau de l’émission DROIT DE SAVOIR, Modeste Boukadia, Président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo, pense, il est plus qu’impérieux de préparer déjà l’après Denis Sassou Nguesso. Réagissant sur la succession de ce dernier, Modeste BOUKADIA évoque l’article 66 de la constitution de la République du Congo et estime que le fils cadet de Denis Sassou Nguesso ne remplit pas les critères.
Article 66 de la constitution du Congo-Brazzaville: « Nul ne peut être candidat aux fonctions de Président de la République s’il :
n’est de nationalité congolaise d’origine ;
ne jouit de ses droits civils et politiques ;
n’est de bonne moralité ;
n’atteste d’une expérience professionnelle de huit (8) ans au moins ;
n’est âgé de trente (30) ans révolus ;
ne jouit d’un état de bien-être physique et mental dûment constaté par un collège de trois médecins assermentés désignés par la Cour constitutionnelle. »
INTERVIEW ACCORDEE au journal Afrique Education Jeudi 15 juillet 2021 – 15h17 Propos recueillis par afriqueeducation.com
Président du CDRC (Cercle des démocrates et républicains du Congo), Modeste Boukadia dont les sorties dans la presse sont rares sauf quand il a quelque chose de très important à dire, invite les Congolais à préparer, dès maintenant, l’après Sassou-Nguesso. Toutes les vérités n’étant pas bonnes à mettre sur la place publique, l’opposition aurait grand intérêt à se rapprocher de lui pour conjuguer les forces afin de faire face efficacement aux échéances futures qui attendent le Congo-Brazzaville. Le dictateur avait failli tuer Modeste Boukadia en 2016 et 2017 dans une prison de Pointe-Noire s’il n’avait pas bénéficié d’une équipe d’activistes particulièrement dynamique dont sa propre épouse d’origine française. Sassou sait, donc, qui est Modeste Boukadia et de quel bois il se chauffe. Afrique Education a pris langue avec lui afin qu’il précise sa vision sur le Congo au moment où le pays entre dans une zone de forte turbulence dont on ignore quand il en sortira.
Communiqué de presse relatif à la santé de Denis Sassou Nguesso
La santé de Denis Sassou Nguesso se dégrade dangereusement et il est sous oxygène jusqu’à deux à trois heures par jour sous la surveillance de trois médecins cubains.
Depuis quelque temps, il est absent aux conseils des ministres.
De plus, à la suite du hold-up de l’élection présidentielle de mars 2021 qu’il a commis en n’appliquant pas l’article 70 de la Constitution du Congo, le peuple congolais ne lui reconnaît plus aujourd’hui la qualité de Président de la République.
Cet état de fait est très préoccupant pour le Congo et pour les Congolais qui ne veulent pas se retrouver dans la même situation que la Côte-d’Ivoire au moment de la mort du président Félix Houphouët-Boigny où l’on avait gardé secret son décès durant plusieurs mois, le temps de lui trouver un successeur.
C’est pourquoi le CDRC interpelle le PCT, parti au pouvoir, afin que Denis Sassou Nguesso puisse s’exprimer devant le peuple Congolais avant qu’il ne meure. Denis Sassou Nguesso a été un acteur majeur de la vie politique tumultueuse du Congo, mais il est aussi l’auteur des errements économiques dans lesquels il a entraîné le pays.
Le CDRC rappelle à la Chine que cette dette engage M. Sassou Nguesso et son clan et non le Peuple Congolais. La Chine ne peut donc prendre en otage le Congo au nom de cette dette qui ne l’engage pas.
Quand la Chine dit que le peuple congolais est incapable d’une insurrection populaire, elle se trompe car le Congo n’est pas la Chine. Le Congo a déjà connu des insurrections populaires et peut encore en connaître. Mais la Chine a raison de souligner auprès de M. Sassou Nguesso que son successeur issu d’une insurrection populaire aura parfaitement le droit de ne pas reconnaître cette dette.
Le CDRC appelle le Peuple Congolais à l’unité dans le combat pour s’opposer dès maintenant aux manœuvres visant à imposer comme successeur Christel Denis Sassou Nguesso, un homme traqué par de multiples procès à travers le monde, notamment en France, en Espagne, en Suisse, au Canada et aux États-Unis d’Amérique.
Même si la Cour constitutionnelle est capable de violer à nouveau la Constitution dont elle a la charge (comme elle l’a fait lors de la dernière élection en refusant de dire le droit et d’appliquer son article 70), nous lui rappelons que la Constitution du Congo de 2015 dispose en son article 66 :« Nul ne peut être candidat aux fonctions de Président de la République s’il n’est de nationalité congolaise d’origine (République du Congo) et s’il n’est de bonne moralité. »
L’interprétation de cet article n’est pas sujet à discussion. Christel Denis Sassou Nguesso est né de Denis Sassou Nguesso et de mère étrangère. Il n’est donc pas Congolais d’origine de la République du Congo.
En conséquence, le PCT doit savoir que la nomination du fils de Denis Sassou Nguesso comme successeur posera d’énormes problèmes au Congo.
Pour maintenir la possibilité de vivre tous ensemble, le CDRC en appelle à la mobilisation de tous les Congolais, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, pour unir ce qui est épars. Si nous voulons sortir le Congo du chaos, l’heure n’est plus aux atermoiements des uns et des autres. Si nous voulons éviter l’explosion de notre intégrité territoriale, nous devons absolument dépasser les clivages idéologiques et tribaux dans lesquels le Congo a été enfermé.
Avant que Denis Sassou Nguesso ne quitte la terre des Congolais, il est nécessaire et urgent qu’il choisisse la voie de l’apaisement et de l’union nationale. Cette voie passe par un dialogue international sous la forme d’une Conférence internationale pour la renaissance du Congo dont les grandes lignes seront posées au cours d’une Table Ronde. Voilà comment nous pourrons résoudre tous les problèmes qui gangrènent la vie des Congolais et reconstruire le Congo-Brazzaville.
Pour cela, le CDRC entend compter sur les amitiés solides des partenaires séculaires du Congo avec lesquels nous avons une histoire commune, aussi dure et tragique soit-elle parfois.
Modeste BOUKADIA@MBOUKADIA Déchirer notre drapeau reconnu par les Nations Unies, c’est mépriser la République au lieu de s’attaquer au pouvoir de M. Sassou… Ce drapeau n’est pour rien dans les malheurs du Congo. Je condamne fermement cet acte au nom de tous les républicains et démocrates congolais. 1:48 PM · 10 mai 2021 https://twitter.com/MBOUKADIA/status/1391721764024201218?s=20
VIDÉO cliquer sur le lien : TLR-TV, 25/04/2021 – 05:09 DROIT DE SAVOIR / INTÉGRALE « On ne garde pas pour longtemps le corps d’une victime du Covid-19 » Le Député, Candidat à l’élection présidentielle de mars dernier, Guy Brice Parfait Kolélas, Président de l’UDH-YUKI, serait mort du Covid-19, à en croire la version officielle du gouvernement congolais. Non convaincu et vu les circonstances douteuses de son décès brutal, décès précédé des menaces de mort, proférées par Firmin Ayessa, vice-Premier ministre, chargé de la fonction publique, les parents de l’illustre disparu ont demandé l’autopsie du corps de la dé-cujus, les résultats se font toujours attendre, voici plus d’un mois. Invité : Modeste Boukadia, Président du CDRC : vidéo :
Quelle indécence ! Sassou Nguesso ose prêter serment aujourd’hui, alors même que Guy-Brice Parfait Kolélas, celui qui a gagné l’élection et qui est décédé avant le vote – en vérité empoisonné – n’a pas encore été enterré et dont la dépouille mortelle est encore en France.
Sassou Nguesso se précipiterait-il s’il avait réellement gagné ?
Ceux qui assistent à cette cérémonie d’investiture à Brazzaville savent que Sassou Nguesso a été battu par un mort – le mort de trop – et qu’il n’a pas été élu. Ils sont tous dictateurs eux-mêmes ou complices des dictateurs dans ce qui reste de la Françafrique.
Comment des représentants de la France, de l’Union africaine et d’une partie de la communauté internationale peuvent-ils se permettre de participer à ce simulacre ? Comment peuvent -ils oser continuer à fermer les yeux face aux crimes de masse commis par Denis Sassou Nguesso ? Se souviennent-ils qu’il avait déjà, en d’autres temps, assassiné Marien Ngouabi et Alphonse Massamba-Débat ?
Comment la France en particulier peut-elle oser encore dissimuler les résultats de l’autopsie de Guy-Brice Parfait Kolélas, le Président élu, sous la pression du PCT et de Sassou Nguesso, l’usurpateur ?
En agissant ainsi, la France contribue à accentuer le sentiment anti-français au Congo.
Le peuple congolais sait désormais ce qu’il lui reste à faire pour se libérer et reprendre démocratiquement son pouvoir.
Dans ce combat, j’accompagnerai le peuple congolais jusqu’au bout.
Après le décès de Guy-Brice Parfait Kolélas, président élu à l’élection présidentielle du 21 mars 2021, le peuple congolais ne reconnaît à M. Sassou Nguesso ni la légalité permettant de gouverner le Congo-Brazzaville, ni la légitimité constitutionnelle d’être président.
Le peuple congolais constate la vacance du pouvoir au Congo Brazzaville. Dès lors s’impose un gouvernement d’union nationale et de salut public.
Le peuple congolais ne reconnaîtra ni sa prestation de serment sur sa constitution devant des juges constitutionnels dévoués et corrompus qui n’ont pas appliqué l’art.70, ni le gouvernement qui va en découler.
Le peuple congolais ne reconnaît ni la légalité, ni la légitimité de Denis Sassou Nguesso.
PRÉSIDENTIELLE 2021 : LE SORT DU CONGO-BRAZZAVILLE SUSPENDU SUR LA DÉCISION DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE.
Le sort du Congo-Brazzaville, suspendu sur la décision de la cour constitutionnelle, qui devra statuer ce mardi 06 avril 2021, sur la validation ou l’annulation des résultats provisoires du premier tour de l’élection présidentielle qui s’est déroulé les 17 et 21 mars dernier, en raison non seulement de nombreuses irrégularités flagrantes et graves constatées pendant le déroulement des scrutins, mais aussi et surtout du décès d’un candidat à cette course présidentielle, Guy Brice Parfait Kolélas, pendant le processus électoral du premier tour, un décès qui nécessite l’annulation du scrutin et son report, conformément à l’article 70 de la constitution congolaise du 25 octobre 2015.
Invité de l’émission : Modeste Boukadia, Président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo.
Selon la version officielle, Guy-Brice Parfait Kolélas serait mort « avant l’ouverture des bureaux de vote » bien qu’un faisceau de preuves montre qu’il est bien mort le samedi 20 mars 2021 vers 20h00 GMT soit 21h00, heure de Brazzaville.
De plus, malgré le fort taux d’abstention due à la désobéissance civile, d’après les vrais résultats compilés par le professeur de droit Désiré Moussoki, curieusement décédé le 29 mars, Guy-Brice Parfait Kolélas aurait même battu Denis Sassou Nguesso.
Henri Bouka (président de la commission nationale électorale indépendante, CNEI et président de la Cour suprême) et Auguste Iloki (président du conseil constitutionnel) vont-ils oser valider l’élection de leur parent Sassou Nguesso ?
La Cour constitutionnelle doit invalider le scrutin au regard de l’art. 70 de ma constitution de 2015 : « Si avant le premier tour, un des candidats décède ou se trouve définitivement empêché, la Cour constitutionnelle prononce le report de l’élection. En cas de décès ou d’empêchement définitif de l’un des candidats restés en lice pour le second tour, la Cour constitutionnelle déclare qu’il soit procédé de nouveau à l’ensemble des opérations électorales ».
C’est le cas. Denis Sassou Nguesso n’est donc plus président.
Une transition politique s’impose pour sauver l’unité du pays.
Au cours de l’émission Ebaka show du 21 mars 2021 consacrée à l’élection présidentielle, Modeste Boukadia, qui avait appelé le peuple à la désobéissance civile et pacifique de rester CHEZ EUX, a exhorté le peuple à l’union pour la Transition Politique. Le peuple a repris sa souveraineté et son Pouvoir.
Le 21 mars 2021, le peuple a repris pacifiquement le pouvoir par la désobéissance civile. L’heure arrive de la transition politique et de la renaissance du Congo. Unissons-nous !