« Notre Objectif : Reconstruire le Congo et rendre la dignité à ses citoyens en impulsant et favorisant l'esprit de liberté démocratique et républicaine. »
La désobéissance est un droit, les Congolais doivent l’exercer le 21 mars 2021. Que les Forces Armées Congolaises se souviennent de nos officiers et sous-officiers disparus…
Colonel Basile OSSOMBO Général Blaise ADOUA Lieutenant Prosper MATOUMPA-MPOLO Commandant François-Xavier KATALI Capitaine Luc KIMBOUALA-NKAYA Colonel Marcel TSOUROU Capitaine Barthélémy KIKADIDI Sergent-chef ONTSOU Lieutenant MBORO Commandant Michel KIYINDOU Capitaine Albert MIAWAMA Sergent Jean-Claude BAKEKOLO Lieutenant Alphonse MANTESSA Lieutenant Pierre KINGANGA Sergent-chef Jean-Pierre OLOUKA Lieutenant Ange DIAWARA BIDIE Lieutenant Jean-Baptiste IKOKO Général Yves MOTANDO-MONGO Général Emmanuel AVOUKOU
Note : cette liste n’est pas exhaustive… CDRC Editor Paris, le 04 mars 2021
Modeste Boukadia appelle le peuple à la désobéissance civile. Le Président du CDRC demande au peuple congolais de ne pas aller voter le 21 mars prochain et appelle à une désobéissance civile.
sreip_show 🔥 Qui est Modeste Boukadia ? 🔥 Est-ce réellement le prochain Nelson Mandela ? 🔥 Pourquoi est-il allé en prison ? Toutes ces questions ont leurs réponses dans ce podcast avec @modesteboukadia et bien plus encore !
Je comprends mieux pourquoi le régime Denis Sassou Nguesso avait enterré le Cardinal Émile Biayenda vivant, parce que, pour Sassou Nguesso et son PCT, les chrétiens sont des cabris qu’on peut ligoter et étrangler sans problème.
L’émission DROIT DE SAVOIR. Invité : Modeste Boukadia, président du CDRC, s’interroge sur l’avenir du Congo suite à la réaction du porte-parole du gouvernement congolais Thierry Lézin Moungalla contre les Évêques du Congo.
Modeste Boukadia rappelle que le Congo-Brazzaville est un pays à plus de 90% chrétien, quand les évêques parlent, c’est l’opinion de plus de 90% des congolais qu’ils expriment.
Il dit également comprendre pourquoi le régime de Denis Sassou Nguesso avait enterré le Cardinal Émile Biayenda vivant, parce que « pour Sassou Nguesso et son PCT, les chrétiens sont des cabris qu’on peut ligoter et étrangler sans problème ».
Modeste Boukadia réitère son mot d’ordre pour une désobéissance civile et promet un tsunami le 21 mars contre le régime totalitaire de Brazzaville.
Suivre l’intégralité de l’émission DROIT DE SAVOIR ci-dessous ou sur le canal TLR-TV
La liberté de la presse emprisonnée au Congo-Brazzaville
Le CDRC vient d’apprendre avec effroi que le directeur du journal satirique de Brazzaville Sel-Piment, Raymond Malonga vient d’être arrêté pour avoir accompli son devoir d’informer les Congolais dans le strict respect de la loi. En proie à de grosses difficultés pour faire accepter une élection dont les résultats sont connus d’avance et que le peuple congolais refuse, le gouvernement de Sassou Nguesso arrête des journalistes et tente de faire taire la vérité. Pourtant, le journal satirique Sel-Piment ne fait qu’évoquer, sans les falsifier, des vérités que chacun est libre d’interpréter. Plusieurs fois suspendu et condamné par le gouvernement de Sassou Nguesso, il n’a qu’un seul tort, celui de donner des faits incontestables.
Le CDRC condamne avec fermeté cette arrestation arbitraire et rappelle que la presse est le pivot de l’expression démocratique ;
Le CDRC souligne que l’effondrement économique, l’appauvrissement du peuple et les atteintes graves aux droits de l’homme conduisent le pays à une contestation profonde et à l’expression inéluctable d’une vindicte populaire dont les conséquences seront dramatiques ;
Le CDRC demande la libération immédiate du directeur du journal Sel-Piment, monsieur Raymond Malonga et exprime son soutien à tous les journalistes qui, au péril de leur vie, remplissent avec courage leur devoir d’informer et d’exister en tant que quatrième pouvoir au Congo-Brazzaville.
Enfin, le CDRC affirme que cette liberté de la presse sera garantie lorsque le parfum de la liberté flottera sur l’ensemble du territoire congolais.
Fait à Paris, le 3 février 2021
Pour le CDRC,
Modeste BOUKADIA
PS : le réseau RSF a été saisi ici https://rsf.org/fr/contact ce jour 03 février 2021 à 16h35 Mesdames, Messieurs du réseau RSF, Je voudrais vous informer de l’arrestation mardi 2 février 2021 à Brazzaville (Congo) du directeur du journal Sel-Piment par les autorités du Congo-Brazzaville pour avoir publié des articles concernant la gestion du gouvernement congolais. Il a été déféré à la maison d’arrêt de Brazzaville où les conditions de détention sans des plus difficiles. Personnellement, j’ai été détenu arbitrairement pendant 575 jours à la maison d’arrêt de Pointe-Noire où j’ai subi des tortures physiques et morales avec des tentatives d’assassinat. C’est en connaissance de cause que je vous écris sur le cas de M. Raymond Malonga. Avec mes remerciements pour votre intervention afin que ce journaliste recouvre sa liberté citoyenne. Modeste Boukadia +33 6 62 92 95 40
Lettre de félicitation aux partis de l’opposition, au parti de l’union pour le Congo et à l’UPADS
Modeste Boukadia, président du C.D.R.C.
A
Messieurs le président par intérim des partis de l’opposition, Clément Mierassa, le président de l’union pour le Congo, Paulin Makaya et à messieurs les responsables de l’UPADS notamment le Premier Secrétaire, Pascal Tsaty-Mabiala.
C’est avec une attention particulière et une satisfaction immense que je viens d’apprendre par voie de presse que vous appeliez tous vos militants à ne pas aller aux élections présidentielles de mars 2021.
De même, messieurs les présidents, j’adhère à la lettre d’interpellation adressée à monsieur Sassou Nguesso, président de fait.
Pour cela, je tiens à vous adresser au nom de mon parti, le C.D.R.C., et de moi-même nos sincères félicitations pour cette décision courageuse au service de l’intérêt national. Ce coup de massue marque l’arrêt de l’élection présidentielle : comment, en effet, imaginer l’organisation d’une telle élection alors que les populations refusent d’y participer ?
Messieurs les présidents, soyez assurés que nous allons dorénavant travailler en étroite collaboration pour que la journée du 21 mars 2021 soit transformée en une journée de désobéissance civile, événement historique dont l’objectif premier est d’exprimer la vindicte populaire tout en épargnant des vies humaines. La communauté internationale pourra ensuite nous assister dans la tenue de la Conférence internationale pour la renaissance du Congo-Brazzaville (C.I.R.C.).
Je souhaite ardemment que les autres responsables politiques sauront vous emboîter le pas et aideront M. Sassou à écouter la voix du peuple en annulant sans attendre cette élection de tous les dangers.
J’appelle enfin la France, l’Union Européenne et les Etats-Unis d’Amérique à assumer leur rôle de médiation dans ce processus d’apaisement conduisant à la mise en place de la Transition politique et à la préparation d’une élection démocratique, libre et transparente.
Que les Mânes de nos Ancêtres soient avec nous tous et sauvent le Congo.
Modeste BOUKADIA président du C.D.R.C. Paris, le 30 janvier 2021
L’institution du terrorisme d’État nous impose d’arrêter l’élection présidentielle parce que le Ministre de l’Intérieur, Zéphyrin Mboulou n’est plus en mesure d’assurer la tenue d’une élection équitable et transparente. Denis Sassou doit nommer un nouveau Ministre de l’Intérieur pour organiser avec la communauté internationale le recensement général de la Population et de l’Habitat en vue de l’établissement des cartes d’électeurs et des listes électorales crédibles.
Modeste Boukadia, président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo (CDRC), s’est exprimé le 28 janvier 2021 dans Ebaka show sur la situation générale du Congo de l’Afrique et sur l’élection présidentielle du 21 mars 2021 en particulier
Quand un président de fait a échoué sur tous les plans au niveau national : pas d’hôpitaux, pas d’écoles, pas d’électricité, pas d’eau courante, pas de routes, pas de chemins de fer, des pensions non payés depuis trois ans pour certains militaires, des pensions de retraite non pays depuis près de trente mois, des salaires et des bourses au compte-goutte, des étudiants livrés à eux-mêmes à l’étranger, des crimes économiques de grande ampleur, un génocide d’état dans la région du Pool ; quand celui qui a échoué pendant quarante ans se déclare candidat à sa propre succession avec pour seul projet de « mourir au pouvoir », FAUT-IL LE LAISSER FAIRE ?
Quand celui qui détruit l’économie du Congo et son peuple adopte comme slogan de campagne « Sassou ou rien », cela veut dire qu’il veut continuer à détruire son pays et exterminer les Laris – c’est ce qu’il vient de faire en envoyant couper à la machette de braves citoyens à Bacongo et Makélékélé et en faisant brûler l’hôpital de Linzolo construit par l’église catholique, en décapitant la statue de Mgr Augouard. Le peuple congolais sait que ce mépris ne présume rien de bon. FAUT-IL LAISSER DENIS SASSOU EXTERMINER LE PEUPLE ?
C’est une erreur grave, d’avoir franchi la ligne rouge… Sassou Nguesso doit être ramené à la réalité pour qu’il se réveille du sommeil dans lequel il a été plongé. Je ne suis plus le BOUKADIA du 15 janvier 2016, qu’ils se détrompent, je ne suis ni Diawara ni Franklin Boukaka… Dans la nuit du dimanche 10 janvier au lundi 11 janvier 2021, Parfait Kolélas se retrouve avec Sassou Nguesso de 2h00 à 5h00 du matin, de quoi ont-ils discuté ; est-ce du nombre de morts à faire encore dans le Pool ? » s’interroge Modeste Boukadia
Émission DROIT DE SAVOIR. Invité : Modeste BOUKADIA, Président du CDRC. Monsieur Boukadia dénonce un complot contre sa personne qui aurait été organisé par le Ministre Zéphyrin Mboulou, qui avait réuni le 5 janvier 2021, chez lui, les « pseudos dignitaires du Pool » en présence de Romain Kinfousia et monsieur Konta. Suivre l’intégralité de l’émission DROIT DE SAVOIR ci-dessous ou sur le canal TLR-TV