Pensée Politique du CDRC

« Tourner définitivement la page de l’errance économique par la création du marché intérieur, non en important les biens de notre consommation intérieure, mais en mettant en œuvre par notre Peuple les moyens créant tous ces biens de consommation. »


« La manière la plus efficace à remédier à toutes ces carences est la reconstruction de l’État, qui seul doit être le premier et important investisseur pour créer la richesse nationale par la mise en œuvre d’un marché intérieur sur toute l’étendue de notre République. »

La pensée politique du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo  « une Nation pour Tous » est la continuation, dans le respect de la République et de la démocratie, des idéaux et principes définis le 28 novembre 1958 par Félix Tchicaya, Jacques Opangault, Fulbert Youlou, rénovés voire complétés en 1991 par la Conférence Nationale Souveraine.

Cette pensée politique altruiste et moderne stipule en substance : « Avant de parler de justice, de liberté et de progrès, à la population qui est démunie de tout, il est indispensable de prendre, dans un premier temps, des mesures radicales contre la misère, la maladie, la malnutrition et la malformation (scolaire et professionnelle). En effet, si chaque Congolaise et chaque Congolais ne disposent pas de moyens qui leur permettent de satisfaire aux besoins vitaux, individuels et collectifs, de leurs familles (justice sociale, bien-être, Emploi, Revenu), il est illusoire de parler de solidarité, de développement, d’unité et encore moins de concorde. »

Le CDRC « une Nation pour Tous » estime que la manière la plus efficace pour remédier à toutes ces carences est la reconstruction de l’État « qui seul doit être le premier et important investisseur pour créer la richesse nationale par la mise en œuvre d’un marché intérieur sur toute l’étendue de notre République. » Disons que l’État doit faire ce que la puissance privée est encore incapable de réaliser !