Chères Congolaises, chers Congolais,
Qu’il nous serait agréable de se souhaiter et de vivre 2017 comme une année mémorable par ses biens faits, ses bontés, en général. Ces moments festifs ne doivent pas nous occulter certains cailloux rencontrés dans notre vie, sur le chemin des années passées.
Nos pensées se tournent vers tous ceux qui se retrouvent seuls par le départ d’un être cher, à tous ceux que la maladie positionne en marge de la société, à tous ceux qui attendent des soins, un travail ou leur liberté. L’attente est un mal qui ronge, mais son remède est l’espoir. La flamme de l’espoir est comme celle des jeux olympiques, elle ne s’éteint jamais. Il y a et il y aura toujours quelqu’un pour porter haut cet envie de bien vivre où que l’on soit. Le président Modeste Boukadia ne peut vous adresser ses vœux, en personne, au nom du CDRC, d’où il est actuellement.
Ces paroles, Si tu tombes, un ami sort de l’ombre à ta place, rebondissent sur une musique. D’autant plus que la Nature a horreur du vide, je parle en son nom. Modeste Boukadia aime son pays et pense « le Ensemble », pour que le Congo puisse se redresser et redevenir un pays phare en Afrique.
Que nous le voulions ou non, tous les Congolais sont responsables de ce qui les unira demain. Modeste Boukadia a créé le CDRC, un parti autonome, conciliant l’honneur d’être l’Union pour Une Nation, Une Nation pour Tous, son slogan, son hymne, sa vision.
Une année chasse l’autre. La vie, l’expérience c’est un peu comme conduire une voiture. Savoir regarder devant sans oublier le rétroviseur. Devant c’est l’avenir. Il sera ce que l’on a bien voulu en faire. Le rétroviseur, c’est le passé. Chez certains, il est enterré, chez d’autres il est maquillé comme au carnaval. Pourtant, il n’y a, face au passé, qu’une attitude qui vaille : la lucidité, façon de penser de Modeste Boukadia.
C’est dans cet état d’esprit que le Congo se développera avec son siècle, le XXIème, et trouvera sa place dans la mondialisation. Il n’y a pas de réconciliation possible sans une pleine acceptation du passé. Le passé doit être d’abord compris non retouché pour être des leçons édifiantes.
Que chacun endosse ses torts, les explique et s’apaisera naturellement les visions du futur grâce à la compréhension et la place exacte de l’Histoire.
Cette histoire, c’est individuellement et ensemble que nous la bâtissons. Individuellement, notre entité personnelle est aussi notre identité, nos racines et notre avenir. Nous avons tous un passé, nous vivons le présent et préparons l’avenir. Mais seul nous ne sommes rien et pouvons peu, d’où l’Union fait la force. Ensemble, ce sont des affinités, des visions communes, qui nous rassurent.
Cette chaine humaine est indestructible car une entité est soutenue par deux autres. Ni la fatigue, ni la lassitude, n’arriveront à nous faire décourager. Cette solidarité n’est pas une légende. Elle existe et j’ai eu le plaisir de le constater.
L’année 2017 porte en elle ses secrets, bons ou moins bons. Sans soleil, il n’y a plus d’ombre. Pour avoir cette ombre, il y a un arbre, une maison. La source de cette ombre peut-être un obstacle, mais aussi un espace de repos. Il suffit de voir le verre d’eau à demi rempli de manière positive, en pensant que ce verre est rempli d’une certaine quantité. Ce n’est pas la peine d’imaginer que cette eau a pu s’évaporer ou être bue. Il faut savoir composer avec ce que l’on a, s’en satisfaire et le valoriser.
Le CDRC répond à vos attentes. Ce parti attend de vous, cette valorisation, pour qu’Ensemble la route soit semi ombragée et ainsi apprécier le soleil, source de notre énergie. Cette énergie se trouve en nous.
Les mots : attente, espoir, positif et valeur ont marqué ce message. Ce sont les qualités de ceux qui nous offrent le fruit de leur travail pour que nous puissions en cette période déguster des ananas et s’échanger les buanana.
A mon tour, du plus profond de mon être, je vous dis pour 2017
Buanana maman,
buanana papa.
Matondo.