Congo-Brazzaville : Un peuple enchaîné par le système PCT

Congo-Brazzaville : Un peuple enchaîné par le système PCT

Depuis des décennies, le Congo-Brazzaville vit sous le joug d’un système politique qui a transformé ses citoyens en esclaves modernes, pris en otage par le Parti Congolais du Travail (PCT) et son chef incontesté, Denis Sassou Nguesso. Ce régime, ancré dans la corruption, la répression et le pillage des ressources nationales, n’a fait qu’enrichir une minorité au détriment du peuple, qui continue de souffrir dans la misère et l’oppression.

Le PCT n’a jamais eu pour objectif de servir les Congolais. Au contraire, il a méthodiquement installé un système de domination absolue, où le peuple est maintenu dans la pauvreté et la peur, privé de ses droits fondamentaux, pendant que les dirigeants accumulent richesses et privilèges. Chaque jour qui passe sous ce régime est une preuve supplémentaire que les Congolais sont devenus des esclaves sur leur propre terre.

Mais l’avenir s’annonce encore plus sombre. Si ces esclaves ne se lèvent pas maintenant pour briser leurs chaînes, ils ne feront que transmettre leur servitude à leurs enfants. Le plan est clair : les héritiers du PCT, les fils et filles des dirigeants actuels, sont déjà positionnés pour prendre la relève. Et ils seront encore plus féroces et impitoyables que leurs pères, car ils voudront consolider leur pouvoir et protéger leur fortune mal acquise à tout prix.

Ce qui attend le Congo si rien ne change, c’est un transfert de titre foncier de la servitude. Ce ne seront plus seulement les pères du régime qui opprimeront, mais leurs enfants, qui n’auront aucune pitié pour un peuple qu’ils considèrent déjà comme une propriété familiale. La seule solution pour éviter ce destin tragique est la révolte et la libération immédiate.

Le peuple congolais doit prendre conscience que chaque jour passé sous cette dictature est un pas de plus vers une servitude éternelle. L’histoire nous enseigne que les chaînes ne tombent jamais d’elles-mêmes : elles doivent être brisées par ceux qui les portent.

Congolais, levez-vous avant qu’il ne soit trop tard !

Tom Melvin BAIKI

Le 28 février 2025

Laisser un commentaire