
Arrêt du barrage d’Imboulou : une illustration de la faillite du pouvoir PCT
Le Cercle des Démocrates et Républicains du Congo (CDRC) informe l’opinion nationale et internationale de l’arrêt du barrage d’Imboulou, conséquence directe de l’absence d’entretien et de la mauvaise gouvernance énergétique du régime en place.
À titre de rappel :
- En 2012, le CDRC, par la voix de son Président Modeste Boukadia, avait proposé le rachat du barrage du Djoué et de sa centrale hydroélectrique attenante. Le financement était déjà garanti et le constructeur identifié, un groupe français reconnu.
- Cette proposition avait été rejetée par le pouvoir PCT, par la voix de Jean-Jacques Bouya, qui prétendait que la Banque Africaine de Développement financerait sa réhabilitation. En réalité, ce refus était motivé par la crainte que le barrage du Djoué ne fournisse l’électricité à la région du Pool et à la zone sud de Brazzaville.
Par ailleurs, dès 2009, lors de sa candidature à l’élection présidentielle, Modeste Boukadia avait présenté au CIAN (Conseil français des investisseurs en Afrique) un projet structurant pour l’avenir énergétique et économique du Congo :
- La construction du barrage du Kouilou,
- La connexion avec la construction des lignes de chemin de fer de Pointe-Noire à Impfondo via Brazzaville,
- Un financement entièrement assuré.
Si le CIAN avait refusé d’apporter son soutien sous prétexte de neutralité politique, il est à noter que quelques semaines plus tard, Denis Sassou Nguesso reprenait publiquement ce même projet dans son programme électoral, sans qu’il n’ait jamais vu le jour.
L’arrêt du barrage d’Imboulou n’est donc pas une surprise : il est la conséquence d’années de mensonges, de détournements et d’inaction.
Le CDRC rappelle que seule la TPSA / ToPeSA – Transition politique pour la sauvegarde de l’avenir – permettra la restauration de l’État et l’avènement du Nouveau Congo, capable d’assurer une véritable politique énergétique au service de tous les Congolais.
Fait à Paris, le 24 septembre 2025
Pour le CDRC,
Modeste Boukadia
