COMMUNIQUÉ OFFICIEL | Qu’est devenu Youslin BAYOUNDOULA, enlevé par la DGSP le 29 octobre 2025 au marché Total, au parking dit « Mâ Tchetche » ?

COMMUNIQUÉ OFFICIEL | Qu’est devenu Youslin BAYOUNDOULA, enlevé par la DGSP le 29 octobre 2025 au marché Total, au parking dit « Mâ Tchetche » ?


Victime de la DGSP
Nom : BAYOUNDOULA
Prénom : YOUSLIN
Description : Porte une boucle d’oreille
Profession : Contrôleur de bus
Date des faits : 29 octobre 2025, à 12h00
Lieu : Marché Total, à l’arrêt des bus du parking dit « Mâ Tchetche »


Le 29 octobre 2025, aux environs de midi, une colonne de véhicules de la DGSP est arrivée sur les lieux, provoquant un mouvement de panique. Les passants se sont mis à courir, Youslin BAYOUNDOULA parmi eux.
L’un des agents de la DGSP a alors ouvert le feu. La balle, après avoir ricoché sur la chaussée, a atteint un jeune homme qui sortait d’un magasin, le blessant grièvement au genou.

Transportée d’abord à l’hôpital de Makélékélé, la victime n’a pas été prise en charge — le personnel médical affirmant que ce n’était pas de leur ressort. Le jeune homme a ensuite été transféré à l’hôpital militaire, où il a succombé à sa blessure.

Quant à Youslin BAYOUNDOULA, nul ne sait où il a été emmené. Ses parents, toujours sans nouvelles, affirment avec force qu’il n’était pas un « Kuluna », mais un simple travailleur, contrôleur de bus, victime d’un déchaînement aveugle de violence.
Son père, profondément bouleversé par la disparition de son fils, est tombé gravement malade et suit actuellement un traitement.


Conclusion officielle

Le CDRC condamne avec la plus grande fermeté ces actes d’une brutalité inqualifiable qui traduisent la dérive criminelle d’un appareil d’État censé protéger les citoyens.
Nous exigeons que toute la lumière soit faite sur la disparition de Youslin BAYOUNDOULA et sur les circonstances du décès du jeune homme blessé par balle.
Les responsables doivent être identifiés, traduits en justice et répondre de leurs crimes.

Le respect de la vie, de la dignité humaine et de la loi constitue le socle de toute République véritable.
Aucune raison d’État, aucune prétendue lutte contre l’insécurité, ne saurait justifier le meurtre ou la disparition d’un citoyen innocent.


Fait à Chartres, le 1er novembre 2025
Modeste BOUKADIA
Président du CDRC – Une Nation pour Tous

Exécutions par hélicoptère : le Congo de Sassou Nguesso dans la lignée du Chili de Pinochet et de l’Argentine de la junte militaire

Exécutions par hélicoptère : le Congo de Sassou Nguesso dans la lignée du Chili de Pinochet et de l’Argentine de la junte militaire

Il est temps de se ressaisir et d’aller vers la TPSA / ToPeSA pour apaiser le pays

J’entends depuis le Congo ces objections absurdes :
« Pourquoi Modeste Boukadia s’occupe-t-il de ces exécutions sommaires ? Ce sont des bandits, pas des enfants du Sud, mais ceux du Nord qui sont tués. A-t-il déjà perdu un proche sous les coups des “Bébés noirs” ou des “Kulunas” ? Il est loin là-bas en Europe, lui et son Europe, on n’en a rien à faire ! »

La réponse est simple : la République est UNE et INDIVISIBLE.
Et une République se fonde sur des lois, non sur la vengeance, la peur ou les exécutions sommaires.
Si le Congo ne respecte plus ses propres lois, alors qu’on nous dise clairement : sommes-nous encore dans une République ou dans un régime de terreur ?

Tout crime commis contre un Congolais me concerne, car aucun sang versé ne doit être hiérarchisé selon la région ou l’origine.
Les exécutions sommaires orchestrées par la DGSP sont des crimes contre l’humanité.
Et parce que la DGSP est placée sous l’autorité directe de Denis Sassou Nguesso, c’est à lui qu’incombe la responsabilité totale de ces actes.
Tout manquement à la justice, nationale ou internationale, reposera entièrement sur ses épaules.

Je tiens donc à exprimer ma plus vive préoccupation face à ces crimes extrajudiciaires commis en violation flagrante de la Constitution – celle-là même que Denis Sassou Nguesso a imposée au peuple dans le sang – et des conventions internationales relatives aux droits humains.

Il faut poser les vraies questions :

  • Pourquoi Denis Sassou Nguesso, à travers la DGSP, s’acharne-t-il sur les jeunes des rues, au lieu de s’attaquer à ceux qui dirigent les véritables écuries des “Bébés noirs” ou “Kulunas” ?
  • Ces réseaux ne sont pas apparus spontanément : ils sont entretenus et protégés par des ministres, des officiers, des députés, des ambassadeurs, voire certains opposants qui sont ou ont été membres des FDU-FDP (COBRAS).
    En frappant les simples exécutants — souvent des jeunes abandonnés, manipulés, sans perspectives ni emploi —, pourquoi le régime protège-t-il les véritables commanditaires et détourne-t-il l’attention des racines politiques et institutionnelles du désordre ?
  • Et plus grave encore : pourquoi Denis Sassou Nguesso, par l’intermédiaire de la DGSP, en vient-il à commettre des crimes extrajudiciaires, ces exécutions sommaires qui, selon le droit international, constituent des crimes contre l’humanité ?

Le Congo ne peut plus être gouverné dans la peur et le sang.
Il est temps que chacun se ressaisisse.
Il est temps de comprendre que la violence, la répression et la terreur ne sauveront pas le pays.

La seule voie de salut, la seule issue pour restaurer l’État, réconcilier la Nation et rebâtir la confiance du peuple, c’est la TPSA / ToPeSA — la Transition Politique Structurelle Apaisée, pour la sauvegarde et la refonte de l’État.

Le Congo ne se restaurera pas dans la peur, mais dans la transition, la justice et la paix.
La TPSA / ToPeSA est la voie de la raison et du salut national.

Modeste Boukadia
Président du CDRC – Une Nation Pour Tous
Le 16 octobre 2025

Congo-Brazzaville | Pourquoi la DGSP doit être démantelée

Congo-Brazzaville | Pourquoi la DGSP doit être démantelée

Alors que des témoignages concordants évoquent des exécutions sommaires tout comme les vidéos sur les réseaux sociaux, perpétrées par la Direction générale de la sécurité présidentielle (DGSP), le débat sur la légitimité et les compétences de cette structure refont surface. Devenue une force parallèle placée sous l’autorité directe de Denis Sassou Nguesso, elle soulève de graves interrogations sur l’État de droit et la responsabilité du pouvoir congolais.

Une dérive institutionnelle préoccupante

La DGSP, créée pour assurer la sécurité de Denis Sassou Nguesso, s’est progressivement transformée en un organe autonome échappant à toute supervision institutionnelle.
Cette évolution interroge : est-il encore justifié qu’une force armée exclusivement dédiée à un individu existe, alors que la protection du chef de l’État pourrait être assurée par une unité nationale regroupant des éléments issus des Forces de souveraineté ?

Aujourd’hui, les faits rapportés par plusieurs sources, dont des vidéos postées sur les réseaux sociaux, font état d’un usage abusif de la force, d’exécutions extrajudiciaires et de disparitions forcées, des actes qui relèvent du crime contre l’humanité au regard du droit international.


Des accusations graves et documentées

Selon diverses enquêtes locales et des organisations de défense des droits humains ainsi que des vidéos postées sur les réseaux sociaux, la DGSP est impliquée dans les exécutions sommaires de jeunes Congolais, communément désignés sous le terme de « Bébés noirs » ou « Kulunas ».
Ces jeunes, souvent marginalisés, sont victimes de rafles et d’exécutions extrajudiciaires menées sous prétexte de lutte contre la criminalité urbaine.

Derrière cette façade sécuritaire, se dessine la réalité d’un appareil de répression politique pour apeurer et traumatiser la population. La DGSP agit comme un bras armé du régime, s’appuyant sur les réseaux militaires historiques des FDU-FDP (Forces démocratiques Unies et Forces démocratiques et patriotiques), composés d’officiers supérieurs et de généraux proches du pouvoir, issus notamment des milices dites COBRA, impliquées dans les violences des années 1990 contre le président légitime Pascal Lissouba.

Sous la direction du général Serge Oboa, la DGSP a eu recouru à des armes silencieuses et à des opérations héliportées pour se débarrasser de jeunes enlevés à Djambala puis jetés dans les forêts et les rivières.
Ces pratiques rappellent les heures sombres du Chili de Pinochet ou de l’Argentine sous la junte militaire, où la terreur d’État servait de mode de gouvernance.


Une interrogation centrale : le Congo est-il encore un État de droit ?

La répétition de ces crimes, couverte par le silence des institutions et soutenue par certains intellectuels qui les justifient au nom d’une prétendue “raison d’État”, pose une question fondamentale : le Congo peut-il encore se réclamer d’un État régi par le droit ?

Si tel est le cas, alors les autorités doivent assumer leurs obligations internationales et rétablir l’autorité du droit sur la violence d’État.

Mais si la DGSP continue d’agir dans l’impunité, alors le pays a basculé dans un régime clanique, où la loi du plus fort remplace la Constitution, et où le pouvoir s’exerce au mépris de la vie humaine.

Et dans ces conditions, que ceux qui justifient les exécutions sommaires au nom de la “raison d’État” expliquent donc en quoi le Congo reste un État, alors que le régime en place applique la loi du clan, où le crime est glorifié et l’inhumanité célébrée.


Appel à la responsabilité et à la Transition

L’heure n’est plus aux demi-mesures.
L’heure est à la justice, à la vérité, et à la reconstruction de l’État.

La DGSP a trahi la République en se substituant aux institutions qu’elle devait protéger.
Elle a trahi la Nation en transformant la sécurité publique en instrument de peur.
Et elle a trahi le Peuple, dont elle devait garantir la paix.

Ces crimes ne peuvent ni être oubliés ni pardonnés.
L’impunité, déjà à l’origine des tragédies du passé comme celle des Disparus du Beach, ne peut plus être tolérée.

Le peuple congolais réclame la Transition.
Et il l’obtiendra.


Modeste Boukadia
Président du CDRC – Une Nation Pour Tous
📅 14 octobre 2025

CONGO-BRAZZAVILLE | LE CDRC APPELLE LES JURISTES À ESTER EN JUSTICE

CONGO-BRAZZAVILLE | COMMUNIQUÉ DU CDRC : APPEL AUX JURISTES À ESTER EN JUSTICE

Alors que le Président Donald Trump apporte la paix au Moyen-Orient, Denis Sassou Nguesso, lui, offre au peuple congolais la terreur et la mort.
À l’image du Chili sous Pinochet et de l’Argentine durant la junte militaire, son régime s’illustre désormais par des exécutions sommaires : des jeunes Congolais, qualifiés de « Bébés noirs » ou de « Kulunas », sont arrêtés, embarqués à bord d’hélicoptères, puis jetés vivants dans les forêts et les rivières.
Ces crimes atroces, commis dans l’ombre, visent à effacer toute trace des victimes. Ils ne sont rien d’autre que des exécutions extrajudiciaires, une forme extrême de torture et de disparition forcée.

UNE RESPONSABILITÉ PÉNALE INTERNATIONALE ENGAGÉE

Les témoignages abondants diffusés sur les réseaux sociaux sont formels : la Direction générale de la sécurité présidentielle (DGSP) se rend coupable d’actes qui s’apparentent à ceux des pires régimes autoritaires.
De tels crimes relèvent du crime contre l’humanité, car ils participent d’une politique systématique de répression et de terreur à l’encontre de la population civile.

⚖ APPEL AUX JURISTES ET DÉFENSEURS DU DROIT

Conformément au Statut de Rome instituant la Cour pénale internationale (CPI) :

  • Tout meurtre, exécution sommaire ou disparition forcée commis par un agent de l’État, dans le cadre d’une attaque planifiée contre des civils, constitue un crime contre l’humanité (article 7).
  • La responsabilité pénale s’étend à toute la chaîne de commandement, jusqu’au plus haut niveau de l’État.
  • Et surtout, ces crimes sont imprescriptibles.

Les faits rapportés — arrestations arbitraires, disparitions forcées et exécutions sommaires —, notamment les cas des jeunes enlevés à Djambala et jetés depuis un hélicoptère par la DGSP, ne peuvent être qualifiés ni de bavures ni de raison d’État.
Ils constituent une violation grave du droit à la vie, garanti par :

  • La Constitution congolaise (article 8) ;
  • La Charte africaine des droits de l’homme et des peuples ;
  • Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, ratifié par la République du Congo.

EXIGENCES DU CDRC

Face à ces crimes odieux, le Cercle des Démocrates et Républicains du Congo (CDRC) demande :

  1. L’ouverture immédiate d’une enquête internationale indépendante ;
  2. La saisine de la Cour pénale internationale (CPI) ;
  3. La protection des témoins et des familles des victimes, aujourd’hui menacés et intimidés.

Aucune nation ne peut se reconstruire sur le mensonge et l’impunité.
La justice pour les victimes et leurs proches est une condition non négociable de la paix et de la réconciliation nationale.

C’est pourquoi le CDRC appelle les juristes congolais à ester en justice et le peuple à s’unir autour de la TPSA / ToPeSA, pour la restauration de l’État, garant des droits humains, et le socle d’une union nationale authentique :
Une Nation Pour Tous.

Modeste Boukadia
Président du CDRC
Paris, le 13 octobre 2025

DÉCLARATION OFFICIELLE DU CERCLE DES DÉMOCRATES ET RÉPUBLICAINS DU CONGO (CDRC)

DÉCLARATION OFFICIELLE DU CERCLE DES DÉMOCRATES ET RÉPUBLICAINS DU CONGO (CDRC)

À l’attention des Nations Unies, de l’Union africaine, de l’Union européenne et des organisations internationales de défense des droits humains

Objet : Exécutions sommaires à Djambala et déploiement militaire dans la région du Pool – Appel à une intervention urgente de la communauté internationale

Le Cercle des Démocrates et Républicains du Congo (CDRC) attire l’attention de la communauté internationale sur la grave détérioration de la situation des droits humains en République du Congo, marquée par :

  • l’envoi de troupes militaires dans la région du Pool par le pouvoir de Denis Sassou Nguesso ;
  • et les exécutions sommaires de jeunes civils à Djambala, dans le département des Plateaux.

Ces actes constituent des violations graves et répétées du droit à la vie, de la dignité humaine et des conventions internationales auxquelles la République du Congo est partie, notamment le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples.

Alors que le monde œuvre pour l’apaisement et la paix — à l’image des initiatives diplomatiques récentes menées au Proche-Orient sous l’impulsion du président Donald Trump —, le régime de Brazzaville persiste dans une logique de répression, en s’attaquant à sa propre jeunesse et en entretenant une culture d’impunité depuis les crimes des Disparus du Beach.

Le CDRC rappelle que la France a, à plusieurs reprises, exhorté le pouvoir congolais à mettre fin aux exécutions sommaires, à cesser l’usage de la fausse monnaie et à respecter les droits fondamentaux de ses citoyens.

Le CDRC dénonce également les tentatives de manipulation visant à assimiler à des rebelles les jeunes Congolais engagés dans la sensibilisation pacifique à la TPSA / ToPeSA, mouvement citoyen pour la transition politique et la restauration de l’État.

Face à cette situation alarmante, le CDRC :

  1. Demande l’ouverture immédiate d’une enquête internationale indépendante sous l’égide des Nations Unies ou de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples sur les exécutions sommaires de Djambala et les opérations militaires dans le Pool ;
  2. Exige la suspension des opérations militaires ordonnées par Denis Sassou Nguesso dans les zones civiles ;
  3. Appelle à des sanctions ciblées contre tous les responsables politiques et militaires impliqués dans ces crimes notamment ceux de la DGSP responsables des exécutions sommaires qui sont des crimes contre l’humanité ;
  4. Invite les partenaires internationaux du Congo dont la France à conditionner toute coopération au respect effectif des droits humains et des libertés fondamentales.

Le CDRC réaffirme enfin que seule la TPSA / ToPeSA qui est une une transition politique pacifique, inclusive permettra au Congo de renouer avec la justice, la stabilité et la paix durable.

Le peuple congolais aspire au changement.
Le peuple aura le changement.

Modeste Boukadia
Président du CDRC – Une Nation Pour Tous
Brazzaville / Paris, le 09 octobre 2025

DÉCLARATION OFFICIELLE | APPEL À LA COALITION NATIONALE POUR LE SALUT DU CONGO : Autour de ToPeSA – Une Nation Pour Tous

DÉCLARATION OFFICIELLE | APPEL À LA COALITION NATIONALE POUR LE SALUT DU CONGO

Autour de ToPeSA – Une Nation Pour Tous

Le Congo-Brazzaville vit aujourd’hui une crise d’une gravité exceptionnelle. L’effondrement de l’État, la misère qui s’étend, les exécutions sommaires perpétrées par la DGSP et la peur qui s’installe dans les foyers congolais sont les symptômes d’un pays qui se meurt. Il n’y a plus de temps à perdre.

Face à cette situation dramatique, j’en appelle solennellement à tous les partis politiques du Congo, à toutes les forces vives de la Nation, à la société civile, aux confessions religieuses, aux syndicats, ainsi qu’à la diaspora congolaise, à s’unir dans une grande coalition nationale autour de ToPeSA (Transition Politique, Sociale et Administrative).

Cette coalition aura pour mission essentielle de restaurer l’État, garantir la sécurité du peuple et de tous les acteurs politiques, et mettre en œuvre un programme économique d’urgence apportant des solutions concrètes aux souffrances des Congolais.

Le moment est venu de mettre fin aux exécutions sommaires, de rétablir la justice et l’État de droit, et d’engager le Congo dans une nouvelle ère : celle de la responsabilité, de la réconciliation et de la reconstruction nationale.

La coalition que nous appelons de nos vœux doit être la plus large possible, ouverte à toutes les sensibilités, dans un esprit de réconciliation véritable, sans exclusion, ni revanche, ni chasse aux sorcières.
C’est dans l’union nationale que nous trouverons la force de bâtir ensemble un avenir meilleur pour notre pays.

Nous devons être inventifs pour dépasser nos instincts de repli et de division.
Nous devons être audacieux pour construire une nation qui nous rassemble, au-delà des clans, des partis et des ethnies.
Nous devons être lucides pour comprendre que notre salut ne viendra ni de la peur ni de la soumission, mais de notre capacité à nous relever ensemble.

ToPeSA incarne cette volonté collective : une transition ordonnée, inclusive et pacifique pour rebâtir les institutions, redonner confiance au peuple et replacer le Congo sur la voie du développement, de la dignité et de la souveraineté retrouvée.

Le Congo nous appelle.
Répondons à cet appel avec courage, intelligence et fraternité.
Ensemble, faisons du Congo une Nation pour Tous.

Paris, le 8 octobre 2025

Modeste Boukadia
Président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo (CDRC)

Communiqué de presse du CDRC : À la suite du communiqué du Ministère congolais de l’Intérieur et de la décentralisation

Communiqué de presse du CDRC : À la suite du communiqué du Ministère congolais de l’Intérieur

Le Cercle des Démocrates et Républicains du Congo (CDRC) prend acte du communiqué du Ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation déclarant, je cite :

« Le Ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation saisit cette occasion pour rassurer les populations congolaises et les ressortissants étrangers vivant en République du Congo que les services de sécurité ne ménageront aucun effort pour garantir leur sécurité ainsi que celle de leurs biens sur l’ensemble du territoire national. »

Le CDRC accueille cette déclaration avec attention, mais rappelle qu’elle doit être suivie d’actes concrets. À ce titre, le CDRC demande l’ouverture immédiate d’une enquête indépendante sur les exécutions sommaires des « Bébés noirs » et des « Kulunas » et des innocents perpétrées par la Direction générale de la sécurité présidentielle (DGSP), dont le mandat n’est en aucun cas d’assurer la sécurité publique.

Si ces exécutions ont été menées à l’initiative de la DGSP, il est légitime de s’interroger : ont-elles été ordonnées par le Ministère de l’Intérieur ou réalisées en dehors de toute légalité républicaine ? Dans les deux cas, la responsabilité de l’État est engagée.

Le CDRC attire l’attention de M. Denis Sassou Nguesso sur le fait que, dans le contexte géopolitique actuel marqué par la doctrine MAGA des États-Unis, l’ère de l’impunité est révolue. Le monde entier aspire à la paix et au changement — comme en témoignent les transitions récentes au Népal ou à Madagascar.

Le CDRC avertit le pouvoir en place qu’aucune répression du peuple congolais ne sera tolérée. La communauté internationale observe, et le peuple du Congo, lui aussi, aspire à la paix et au changement.
Le CDRC rejette avec la plus grande fermeté toute tentative d’instaurer le désordre par la violence d’État ou par des crimes gratuits tels que les exécutions sommaires.

Plus que jamais, j’en appelle à la lucidité de Denis Sassou Nguesso : le peuple congolais ne réclame ni vengeance ni chaos, mais la paix, la justice et le changement véritable.

La TPSA / ToPeSA est la voix du peuple congolais et le socle de l’Union Nationale.

Fait à Paris, le 07 octobre 2025
Modeste Boukadia
Président du CDRC – Une Nation Pour Tous

Échec à l’UNESCO : le prix de l’isolement diplomatique du Congo

Échec à l’UNESCO : le prix de l’isolement diplomatique du Congo
Par Modeste Boukadia, Président du CDRC – Une Nation Pour Tous

Le revers du Congo à l’élection pour la direction de l’UNESCO n’est pas un simple échec diplomatique. Il reflète un pays qui, sous Denis Sassou Nguesso, a perdu son crédit moral, politique et intellectuel sur la scène internationale. Le rejet de Firmin Édouard Matoko, diplomate compétent et respecté, sanctionne avant tout un régime usé et déconsidéré.

Un pays effacé des institutions internationales

Depuis plusieurs années, le Congo s’efface progressivement des grandes enceintes multilatérales.
Qui peut encore citer des Congolais occupant des postes de direction dans les institutions internationales, continentales, régionales ou sous-régionales ? Si ces postes existent, leur impact demeure invisible.
Que reste-t-il du passage de Pierre Moussa à la tête de la CEMAC ou du général Jean-Marie Michel Mokoko à la MONUSCO ? Rien.
Autrefois, des figures comme André Milongo faisaient rayonner le Congo par leur action et leur influence. Aujourd’hui, notre pays ne suscite plus que méfiance et indifférence.

« L’UNESCO, c’est l’éducation — or Denis Sassou Nguesso l’a lui-même reconnu : “Nous avons détruit l’éducation.” »

Comment Denis Sassou Nguesso, qui avoue avoir démantelé son système éducatif, pourrait-il soutenir avec conviction un candidat pour diriger l’institution mondiale du savoir et de la culture ?
Comment confier la direction de l’UNESCO à un pays où les exécutions sommaires touchent la jeunesse — les « Bébés noirs » et les « Kulunas » — alors que le chef de l’État se proclame parangon de la culture et de l’éducation ?
Cette limite morale, flagrante aux yeux du monde, a été sanctionnée par le résultat de cette élection.


Une humiliation symptomatique du rejet international

Cette humiliation n’est pas un fait isolé, mais s’inscrit dans la longue série de revers diplomatiques du régime. Firmin Édouard Matoko n’en est qu’une victime collatérale.
Le précédent d’Henri Lopès sous François Hollande avait déjà annoncé la rupture de confiance entre Brazzaville et Paris. Les récentes déclarations d’Anatole Collinet Makosso et de Thierry Moungalla dénonçant « l’ingratitude » de la France en sont la confirmation.
Mais le désaveu dépasse l’Hexagone : au niveau continental, aucune voix n’a semblé acquise pour le Congo, y compris parmi les pays de l’Alliance des États du Sahel (AES). Ce rejet global traduit la défiance croissante d’un continent fatigué des régimes qui confisquent le pouvoir et ternissent l’image de l’Afrique.


Un pouvoir isolé, un peuple déconsidéré

Firmin Édouard Matoko n’a pas démérité. Il est la victime collatérale d’un pouvoir détesté et isolé.
Comme l’écrivait Karl Marx : « L’Histoire se répète deux fois : la première comme une tragédie, la seconde comme une farce. »
Après Henri Lopès, voici Firmin Édouard Matoko : deux diplomates de valeur sacrifiés sur l’autel d’un système à bout de souffle.


Pour un Congo réconcilié et respecté

Ce nouvel échec montre que l’heure est venue pour Denis Sassou Nguesso de rompre avec la diplomatie de façade et l’arrogance du pouvoir. Le pays doit se réconcilier avec lui-même afin de restaurer sa crédibilité sur la scène internationale.

« Seule la TPSA / ToPeSA, en réconciliant le peuple avec ses institutions, peut rendre au Congo la dignité qu’il a perdue. »

Il est temps que le Congo retrouve sa place parmi les nations, non par la soumission, mais par la reconstruction morale, politique et sociale de son État.


Modeste BOUKADIA
Président du CDRC – Une Nation Pour Tous
Brazzaville, le 07 octobre 2025

Communiqué politique | QUAND LE PAYS S’ÉCROULE : LA TPSA / ToPeSA EST LA SOLUTION

Communiqué politique | QUAND LE PAYS S’ÉCROULE : LA TPSA / ToPeSA EST LA SOLUTION

Chez Denis Sassou Nguesso, le rituel est immuable : piéger ceux qui l’ont servi pour mieux enterrer les secrets du régime.

Après avoir neutralisé le général Jean-Marie Michel Mokoko et André Okombi Salissa, voici désormais le tour du général Serge OBOA, lui-même Cobra par la volonté de Denis Sassou Nguesso.
Cette logique sacrificielle, qui vise à sauver ce qui peut l’être, traduit l’incertitude d’un pouvoir fragilisé, surtout au regard de l’issue encore incertaine en Côte d’Ivoire.
Pour Sassou Nguesso, il s’agit de faire feu de tout bois afin de conserver coûte que coûte le Congo sous sa domination.

Quelle issue pour éviter la dislocation du pays ?

La seule voie est celle de l’unité nationale. Toutes les régions – la Sangha, la Likouala, la Cuvette centrale, la Lekoli, les Plateaux, le Pool, la Lékoumou, la Bouenza, le Niari et le Kouilou – doivent redevenir les piliers d’un même pays.

Denis Sassou Nguesso a entretenu les divisions en dressant les Plateaux contre le Pool, et le Pool contre les régions des Trois Palmiers, afin de régner par la discorde. Or, plus que jamais, l’heure est à la réconciliation et à l’union de toutes les composantes nationales.

La TPSA / ToPeSA : restaurer l’État et construire le Nouveau Congo

C’est précisément le rôle de la TPSA / ToPeSA :

  • restaurer l’État,
  • poser les bases du Nouveau Congo,
  • mettre en place une véritable décentralisation administrative et financière,
  • bâtir un marché intérieur congolais solide et intégré.

Ce socle permettra d’ouvrir la voie à des partenariats ambitieux, dynamiques et respectueux avec les pays d’Afrique, l’Union européenne, la France, les États-Unis, la Chine, la Russie et tout État qui traite le Congo et les Congolais avec dignité.

Le Congo face aux enjeux mondiaux

Le monde est en mutation, avec de nouveaux équilibres géopolitiques impulsés notamment par le président Donald Trump.
Le Congo ne doit pas rester en marge de cette reconfiguration mondiale : il doit s’y inscrire avec intelligence, clairvoyance et responsabilité.


Modeste Boukadia
Président du CDRC – Une Nation Pour Tous
Brazzaville / Paris, le 05 octobre 2025

APPEL À UNE ENQUÊTE INTERNATIONALE SUR LES EXÉCUTIONS SOMMAIRES AU CONGO

APPEL À UNE ENQUÊTE INTERNATIONALE SUR LES EXÉCUTIONS SOMMAIRES AU CONGO

Je m’interroge avec gravité : pourquoi les agents de la DGSP agissent-ils toujours cagoulés ? S’agit-il réellement de Congolais, ou bien d’étrangers recrutés pour exécuter une mission de terreur ? La facilité inhumaine avec laquelle ils tuent interroge profondément.

Un homme né et grandi à Poto-Poto peut-il vraiment abattre de sang-froid des jeunes du même quartier, puis rentrer chez lui et regarder ses enfants sans culpabilité ? Non. Tout, dans leur comportement, leur démarche, leur discipline, montre qu’il ne s’agit pas de Congolais, mais de combattants bien formés, vraisemblablement des mercenaires.

Cela prouve que Denis Sassou Nguesso a eu recours à des étrangers pour massacrer la jeunesse congolaise. En mettant le général Serge OBOA en première ligne, il entretient l’illusion que des Congolais assassinent leurs propres frères et sœurs, alors qu’en réalité, les exécuteurs sont en majorité des mercenaires, parmi lesquels des Rwandais et d’anciens membres des FAZ (Forces Armées Zaïroises).

Face à cette situation, une question légitime s’impose : l’ancien président Joseph Kabila et l’actuel président Paul Kagame peuvent-ils éclairer l’opinion publique sur la raison de la présence de Rwandais et d’anciens FAZ installés à Kintélé, au Congo-Brazzaville ?

J’appelle solennellement la communauté internationale – en particulier les Nations Unies, l’Union africaine et la Cour pénale internationale – à diligenter une enquête indépendante et impartiale non seulement sur les exécutions sommaires qui ensanglantent aujourd’hui le Congo, mais aussi sur le drame resté impuni des disparus du Beach.

Le peuple congolais a droit à la vérité et à la justice. Le monde, lui, a le devoir moral et politique de mettre fin à l’impunité d’un régime qui a fait du crime une méthode de gouvernement.

CONCLUSION – APPEL À LA VÉRITÉ ET À LA JUSTICE

J’appelle solennellement la communauté internationale – en particulier les Nations Unies, l’Union africaine et la Cour pénale internationale – à diligenter sans délai une enquête indépendante et impartiale sur les crimes qui ensanglantent le Congo-Brazzaville.

Cette enquête doit couvrir non seulement les exécutions sommaires perpétrées aujourd’hui par la DGSP et ses mercenaires, mais également le drame des disparus du Beach, resté jusqu’ici sans vérité ni justice. L’histoire ne peut continuer à être écrite sur le silence et l’oubli des victimes.

Le peuple congolais, profondément meurtri, a un droit imprescriptible : celui de connaître la vérité, de voir punis les auteurs et les commanditaires, et de reconstruire son avenir dans la paix et la dignité.

Le monde, quant à lui, a une responsabilité morale et politique : celle de mettre fin à l’impunité d’un régime qui a fait du crime une méthode de gouvernement. Ne pas agir, c’est être complice de ces atrocités.

Au nom de la mémoire des victimes, au nom des jeunes exécutés dans les rues, au nom de tous ceux qui ont disparu au Beach, nous demandons que justice soit rendue.

Modeste Boukadia
Président du CDRC – Une Nation Pour Tous
Le 04 octobre 2025